Au sentier emmuré d'ombres, de lumière, sous une paix de clarté au règne avancé d'arbres, le murmure descend du chant vif rieur, d'un oiseau, chanteur.

Bientôt, de sa parure verdoyante, la lande se couvrira de sa coiffure tendre, d'un si beau à la vie sous son matin ensoleillée de son gris de brouillard.

Encore un peu de patience avant cette saison d'importance où chaque essence renaît, de sa procréation d'un parfait, oubliant l‘illusion, d'un défait.

Hurle la vie sous ton parapluie d'indifférence, par ici, le calme murmure l'amour à chaque reconnaissance.

De plumes, de poils, de peau aux mares d'eau, tout se peuple d'une parade nuptiale pour correspondre d'une joie, au vital arrivée d'un surcroît de beauté.

Entend cette complainte charmeuse qui à l’herbe comme au ciel donne ce coup d'envoi de la vie, pour habiter nos coeurs d'une parade en folie.

Regarde la création sous sa pèlerine de printemps qui te poste une lettre à profiter maintenant, de cet agréable présent.

Et son talent grandit de son inédit, ramenant la vie à la vie.

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